vendredi 13 septembre 2013

Adieu Paris !

Sainte-Chapelle
Paris était sûrement triste d’apprendre que notre séjour parisien se terminait aujourd’hui. Et Paris a pleuré presque toute la journée. Il n’y avait que nos parapluies pour nous protéger de toutes ces larmes.

Malgré ce temps maussade (pas une seule journée de soleil depuis dimanche dernier), nous avons débuté nos visites par la Sainte-Chapelle sur le boulevard du Palais. Quelle splendeur que cette chapelle édifiée sur l’Île de la Cité à la demande de Saint-Louis afin d’abriter la Couronne d’épines ainsi qu’un morceau de la « Vraie Croix ». Ce qu’on ne nous dit pas avant d’entrer et de payer le plein tarif, c’est que les vitraux sont en cours de restauration et que toute l’ambiance mystique des lieux est compromise par le travail des artisans. Émerveillement et déception.
Cathédrale Notre-Dame

De la Sainte-Chapelle, nous longeons la Seine sur le Quai Saint-Michel pour nous rendre à la Cathédrale Notre-Dame. Bien que les touristes soient nombreux, on accède au temple en quelques minutes. Haut lieu mythique, on en filme et photographie plusieurs éléments architecturaux et religieux.

Par la suite, nous pénétrons dans le quartier Saint-Séverin par le Square René-Viviani abritant un robinier planté en 1601 par Jean Robin. Il s’agit du plus vieil arbre de Paris. Jouxtant le parc, se trouve l’église Saint-Julien-le-Pauvre, église grecque-melkite catholique. Nous déambulons dans les rues commerçantes du quartier où nous sommes interpellés par les restaurateurs en quête de clients. Les temps sont durs en cette période de restrictions budgétaires.
Notre jardin inutilisé


Nous terminons la journée au restaurant Saint-Maurice de Villejuif où nous nous régalons de veloutés aux 3 parfums, de cuisses de grenouille, de tagliatelles aux crevettes et moules, du pavé au bleu, tartelettes aux poires et mousse aux 2 chocolats, le tout bien arrosé comme il se doit. Merci à Marijo et Michel.

1 commentaire:

  1. Enfin, je vois une partie de la Sainte Chapelle... Je comprends votre déception. Pour nous, il y avait tellement tellement de monde qui attendait que... nous sommes allés nous asseoir juste dans le petit bar en face... Un verre en attire un autre, nous sommes repartis vers chez Carole... C'était il y a deux ans !

    Merci à vous quatre, câlins et bisous

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